التجمع الديمقراطي القوي الشفاف في لبنان      ÇáÕÝÍÇÊ ÇáÑÆíÓíÉ     ÚÑÈí      ÝÑäÓí     ÅäßáíÒí
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مواقف التجمع حول الأحداث اللبنانية الخطيرة.
< أشتغل لتأخير الموت وتحسين مستوى حياة كل إنسان عند جميع الشعوب >

 

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Ýí 31 ßÇäæä ÇáÃæá 2012.  äÞÏ Ýí ÃÍÏÇË ÍíÇÉ ÔÚÈ áÈäÇä. ãä 24 Åáì 31 ßÇäæä ÇáÃæá.
 

http://www.lebanese-transparent-democracy.org/ar/12ar/ar-actu-121231actu.htm
 

 

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ÇáÊÌãÚ ÇáÏíãÞÑÇØí ÇáÞæí ÇáÔÝÇÝ Ýí áÈäÇä¡ áíÓ ãÓÄæá æáíÓ ãäÊÌ ááãÚáæãÇÊ ÇáãÚÑæÖÉ ÃÏäÇå¡ æåíó ÊÚÈøÑú Úä ÑÃí ÇáãäÊÌ ÝÞØ¡ æåÏÝ ÚÑÖåÇ åæó áÏÝÚ ÇáãæÇØä ááÊÝßíÑ ßíÝ íÍãí ÍÞæÞå Ýí åÐÇ Çáßæä ÇáÝÇÓÏ. äÞæá Ãä ÇáÏíãÞÑÇØíÉ ÇáÔÝÇÝÉ ÇáãäÝÕáÉ Úä ÇáÃÏíÇä æÇáÚäÕÑíÉ ÓÊÓÇÚÏ Åáì ÚÇáã ÃÑÍã.

     

Le 24 décembre 2012. Tristement :

Les votants en Egypte sont 32% des inscrits. Parmi ces 32% des égyptiens,  64% ont votés pour les lois de la religion. Donc, parmi les égyptiens qui ont le droit de voter, seulement 20% ont voté pour une constitution basée sur les principes figés depuis 1600 ans d’une religion l’Islam. Les Islamistes veulent gérer la vie quotidienne des citoyens, qu’ils soient croyants ou non, musulmans ou non.

D’abord une constitution est l’édifice de base d’une société. Elle ne peut pas être décidée par 20% du peuple. Ensuite, l’ingérence des religieux dans la politique fausse toute référence démocratique à la procédure. La plupart des votants qui votent pour des partis religieux sont considérés scientifiquement comme des personnes démissionnaires de leurs responsabilités de réfléchir librement pour choisir démocratiquement. L’ignorance les pousse à se cacher derrière la religion et les religieux. Ils confient les décisions sur leurs sorts à la volonté ‘d’un certain dieu’. Le problème est que ce ‘dieu’ ne paraît pas exister. En tout cas, le dirigeant religieux ne communique pas avec ce prétendu ‘dieu’ qui serait le décideur à notre place.

Les pays non démocratiques ont encore beaucoup de chemins à faire pour se libérer de ce gros fardeau qui est le poids de la religion dans la vie politique.

Le printemps arabe est tourné en cauchemar à cause des croyances religieuses. Aujourd’hui, l’Egypte nous donne raison d’être pessimistes.

Au Liban, la situation est plus grave. Nous n’avons pas une religion mais 18 sectes religieuses, confortées par environ cinquante chefs de maffia féodaux et religieux puisqu’ils exploitent les obsédés des religions pour garder leurs pouvoirs et découper le pays en secteurs d’intérêts économiques.

Il n’y a pas eu de révolution pour des réformes modernes. Il y a des luttes de clans pour les pouvoirs.

Bonne fête de fin d’année quand même, et souriez, car vous êtes fiers d’être libanais !

….

Le 24 décembre 2012. Le conseil gratuit n'est souvent pas écouté. Voici un mécanisme qui peut aboutir inéluctablement à une nouvelle loi électorale sans menace sur la vie des chefs de clans:

1- au lieu de réunir des chefs de clans ou leurs représentants pour décider à la place du parlement, nous conseillons de redonner la liberté individuelle à chaque député et faire des réunions plénières au parlement dans lesquelles tous les députés doivent participer.

2- un délai de dix jours soit donné pour que chaque député ou groupe qui le souhaite puisse déposer un projet de loi électorale. Peu importe s'il y a 128 projets!

3- Un débat public sera organisé pendant dix jours.

 4- Un premier vote au parlement par tous les députés doit classer les projets par ordre décroissant du nombre octroyé pour chaque projet.

5- Les trois projets les mieux classés au premier tour seront débattus publiquement pendant dix jours.

6- Le second tour de vote au parlement sélectionnera deux projets parmi les trois en course.

7- Un débat public sera de nouveau organisé pendant dix jours au sujet des deux projets en tête.

8- le troisième et dernier tour de vote au parlement imposera démocratiquement le choix du projet de loi le mieux placé. Cette démarche aboutira à une solution assez juste sans blocage à condition qu'il n'y ait pas rangement des députés par appartenance religieuse et qu’il n’y ait pas corruption par l’argent ou les menaces. Vous constatez que quoi qu’on fasse, la question qui revient toujours est la sécurité dans un milieu de milices armées !

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http://www.14march.org/news-details.php?nid=NDIzOTI4

ÒåÑÇ: ÇáÏÚæÉ ááÍæÇÑ ÊÃÊí Ýí ÅØÇÑ ãÍÇæáÇÊ ÇáÇÍÊíÇá æÇáÇáÊÝÇÝ Úáì ãÞÇØÚÉ "14 ÂÐÇÑ"

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Le 25 décembre 2012. M. Nabih BERRI sait bien que le fonctionnement d’un Etat par ‘des accords entre chefs de clans’ n’aboutit pas à des réformes démocratiques justes et pacifiantes du pays. Il sait aussi qu’il y a différents moyens de faire changer un gouvernement quand le pays est paralysé.

L’opposition des forces du groupe de 14 MARS contre le gouvernement de Najib MIKATI est nécessaire et doit aboutir à sa démission, le plus tôt sera le mieux. Autrement, ce gouvernement collaborateur du tyran Bachar ASSAD continuerait à faire souffrir les libanais, les palestiniens et les syriens.

Le Tribunal International pour le Liban a trop tardé dans ses procédures et il a été retardé en partie par les agissements illicites de Nabih BERRI, et ses alliés comme Hezbollah et le gouvernement MIKATI.

La vraie démocratie ne peut pas fonctionner par le dirigisme du clergé, chefs religieux ou féodaux ou de maffias. L’Etat doit être laïc sans ingérence directe des religieux. La méthode traditionnelle libanaise, de ‘mettre le chef religieux en accord avec le chef de clan’ pour faire croire que les décisions soient inspirées ‘des dieux’ ou de rassembler les croyants derrière le chef de clan qui  reçoit la bénédiction du religieux, doit disparaître de la scène politique. Les coalitions formées dans les salons féodaux n’apportent aucun intérêt au citoyen. Les dirigeants politiques traditionnels doivent être changés pour arriver à une démocratie entre les citoyens et non entre des chefs de clans.

Actuellement les groupes politico économiques exploitent le peuple, classes moyennes et pauvres. Il n’y a aucun espoir d’amélioration s’il n’y a pas de changement radical du fonctionnement de l’Etat.

Voici un mécanisme qui peut aboutir inéluctablement à une nouvelle loi électorale acceptable par tous, sans menace sur la vie des chefs de clans, et sans pourparlers interminables dans les coulisses sombres:

1- au lieu de réunir des chefs de clans ou leurs représentants pour décider à la place du parlement, nous conseillons de redonner la liberté individuelle à chaque député et faire des réunions plénières au parlement dans lesquelles tous les députés doivent participer.

2- un délai de dix jours soit donné pour que chaque député ou groupe qui le souhaite puisse déposer un projet de loi électorale. Peu importe s'il y a 128 projets!

3- Un débat public sera organisé pendant dix jours.

 4- Un premier vote au parlement par tous les députés doit classer les projets par ordre décroissant du nombre octroyé pour chaque projet.

5- Les trois projets les mieux classés au premier tour seront débattus publiquement pendant dix jours.

6- Le second tour de vote au parlement sélectionnera deux projets parmi les trois en course.

7- Un débat public sera de nouveau organisé pendant dix jours au sujet des deux projets en tête.

8- le troisième et dernier tour de vote au parlement imposera démocratiquement le choix du projet de loi le mieux placé. Cette démarche aboutira à une solution assez juste sans blocage à condition qu'il n'y ait pas rangement des députés par appartenance religieuse et qu’il n’y ait pas corruption par l’argent ou les menaces. Vous constatez que quoi qu’on fasse, la question qui revient toujours est la sécurité dans un milieu de milices armées !

Nous avons marre des pourparlers interminables ‘à la manière libanaise’.Nous voulons l’application de procédures obligatoires qui aboutissent à des solutions rapides et justes dans un délai de temps raisonnable. Et que l’Etat fonctionne au service du citoyen et de l’application des lois.

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http://www.lebanese-forces.com/web/MoreNews.aspx?newsid=260322

ÈÑí áÜ"ÇáäåÇÑ": 3 ÍÝÑ ÊäÊÙÑ ÇááÈäÇäííä ÚáíäÇ ÊÌÇæÒåÇ æÅáÇ ÝÓäÞÚ Ýí ÇáãÍÙæÑ ÎáÇá ÇáÃÔåÑ ÇáÃæáì ãä 2013

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Le 26 décembre 2012. M. Michel SLEIMAN, Président de la République, sait bien que le fonctionnement d’un Etat par ‘des accords entre chefs de clans’ n’aboutit pas à des réformes démocratiques justes et pacifiantes du pays. Il sait aussi qu’il y a différents moyens de faire changer un gouvernement quand le pays est paralysé.

La table de dialogue établie par le Président ne règle rien. Elle est comme l’opium qui endormit les gens au lieu de régler leurs problèmes. Elle est comme la prière qui fait l’effet de psychothérapie sur ceux qui y croient, pour un temps, sans résoudre aucun problème.

Le vrai débat doit être fait librement au parlement et en public avec compétition des idées et des députés pour arriver à une loi électorale au service des citoyens des classes moyennes et pauvres. Les chefs de clans qui étouffent le pays par leurs pouvoirs de maffiosi, de leurs argents et de leurs armes ne se réunissent que pour partager l’hégémonie sur les moyens de l’Etat. Ce n’est pas ça de la démocratie, cela ne calme que pour un temps ceux qui portent des armes.

L’opposition des forces du groupe de 14 MARS contre le gouvernement de Najib MIKATI est nécessaire et doit aboutir à sa démission, le plus tôt sera le mieux. Autrement, ce gouvernement collaborateur du tyran Bachar ASSAD continuerait à faire souffrir les libanais, les palestiniens et les syriens.

Le Tribunal International pour le Liban a trop tardé dans ses procédures et il a été retardé en partie par les agissements illicites de Nabih BERRI, et ses alliés comme Hezbollah et le gouvernement MIKATI.

La vraie démocratie ne peut pas fonctionner par le dirigisme du clergé, chefs religieux ou féodaux ou de maffias. L’Etat doit être laïc sans ingérence directe des religieux. La méthode traditionnelle libanaise, de ‘mettre le chef religieux en accord avec le chef de clan’ pour faire croire que les décisions soient inspirées ‘des dieux’ ou de rassembler les croyants derrière le chef de clan qui  reçoit la bénédiction du religieux, doit disparaître de la scène politique. Les coalitions formées dans les salons féodaux n’apportent aucun intérêt au citoyen. Les dirigeants politiques traditionnels doivent être changés pour arriver à une démocratie entre les citoyens et non entre des chefs de clans.

Actuellement les groupes politico économiques exploitent le peuple, classes moyennes et pauvres. Il n’y a aucun espoir d’amélioration s’il n’y a pas de changement radical du fonctionnement de l’Etat.

Voici un mécanisme qui peut aboutir inéluctablement à une nouvelle loi électorale acceptable par tous, sans menace sur la vie des chefs de clans, et sans pourparlers interminables dans les coulisses sombres:

1- au lieu de réunir des chefs de clans ou leurs représentants pour décider à la place du parlement, nous conseillons de redonner la liberté individuelle à chaque député et faire des réunions plénières au parlement dans lesquelles tous les députés doivent participer.

2- un délai de dix jours soit donné pour que chaque député ou groupe qui le souhaite puisse déposer un projet de loi électorale. Peu importe s'il y a 128 projets!

3- Un débat public sera organisé pendant dix jours.

 4- Un premier vote au parlement par tous les députés doit classer les projets par ordre décroissant du nombre octroyé pour chaque projet.

5- Les trois projets les mieux classés au premier tour seront débattus publiquement pendant dix jours.

6- Le second tour de vote au parlement sélectionnera deux projets parmi les trois en course.

7- Un débat public sera de nouveau organisé pendant dix jours au sujet des deux projets en tête.

8- le troisième et dernier tour de vote au parlement imposera démocratiquement le choix du projet de loi le mieux placé. Cette démarche aboutira à une solution assez juste sans blocage à condition qu'il n'y ait pas rangement des députés par appartenance religieuse et qu’il n’y ait pas corruption par l’argent ou les menaces. Vous constatez que quoi qu’on fasse, la question qui revient toujours est la sécurité dans un milieu de milices armées !

Nous avons marre des pourparlers interminables ‘à la manière libanaise’.Nous voulons l’application de procédures obligatoires qui aboutissent à des solutions rapides et justes dans un délai de temps raisonnable. Et que l’Etat fonctionne au service du citoyen et de l’application des lois.

Enfin, Monsieur notre Président, il y a des dizaines de milliers de libanais cultivés, porteurs de compétences modernes dans tous les domaines qui ont tous des solutions et des réponses à vos interrogations. La matière grise existe, y compris en politique. Mais les maffiosi armés qui dominent le pays font fuir les capables à l’étranger et laissent sur le territoire du Liban ceux qui s’écrasent et obéissent à ces féodaux. La révolution démocratique au Liban est sans cesse retardée justement par ceux que vous invitez à « des réunions de dialogue entre guerriers ».

Déconcertant de voir que vous défendez « une loi électorale à la Proportionnelle » qui a pour principal résultat le maintien de la domination des chefs de clans riches et armés sur le pays quoi qu’ils soient leurs pourcentages de partisans parmi les électeurs ! C’est la porte ouverte aux ingérences étrangères en faisant le commerce politique entre ces chefs et les puissances étrangères. C’est  l’écartement des jeunes modérés cultivés démocrates et réformistes qui sont privés de leviers pour réformer le pays.

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http://www.lebanese-forces.com/web/MoreNews.aspx?newsid=260372&title=&#1605;&1606;

 

ÃÊãäì Çä íÃÊí ÝÑÞÇÁ ÇáÍæÇÑ Ýí ßÇäæä ÇáËÇäí æÇÐÇ áã íÃÊæÇ ÝáíÚØæäí ÇáÈÏÇÆá. ÇÐÇ ÃÑÇÏæÇ ÅáÛÇÁ åíÆÉ ÇáÍæÇÑ äáÛåÇ¡ æáíÞæáæÇ áí ãÇ åæ ÇáãØáæÈ¡ ÇäÇ ÃÏÑß Çä áÇ ÃÍÏ íÑíÏ ÅáÛÇÁ åíÆÉ ÇáÍæÇÑ¡ áßä åÐå ÇáãæÇÞÝ ÇáãÄÞÊÉ ÊÖíÚ ÚáíäÇ ÝÑÕ ßËíÑÉ áÇÓÊÞÑÇÑ ÇáæØä".

ÓáíãÇä: ÃÝÖá ãÆÉ ãÑÉ ÇÚÊãÇÏ ÞÇäæä ÇáÍßæãÉ ÇáäÓÈí Úáì ÇáÇ ÊÍÕá ÇäÊÎÇÈÇÊ

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Le 26 décembre 2012. Encore un scandale. Le gouvernement à Beyrouth est un collabo de Bachar ASSAD. Au lieu d’arrêter le ministre de l’intérieur du régime tyrannique de Bachar ASSAD, qui était à Beyrouth, il est intervenu pour le soustraire à la justice libanaise ou internationale, et le renvoyer à la hâte en Syrie. Pourtant, il fait partie des criminels du régime de Bachar.

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http://www.aljadeed.tv/MenuAr/news/DetailNews/DetailNews.html?id=46431

ÇáÔÚÇÑ ÞØÚ ÚáÇÌå Ýí ÈíÑæÊ ÎÔíÉ ãä ÇáÇäÊÑÈæá

ÐßÑÊ ãÚáæãÇÊ Çä æÒíÑ ÇáÏÇÎáíÉ ÇáÓæÑí ãÍãÏ ÇáÔÚÇÑ ÇÎÑÌ íæã ÇãÓ ãä áÈäÇä ÈÓÑÚÉ ÈÚÏãÇ ÈáÛ ÇáÓáØÇÊ ÇááÈäÇäíÉ ÇÍÊãÇá ÇÕÏÇÑ "ÇáÇäÊÑÈæá" ãÐßÑÉ ÊæÞíÝ ÏæáíÉ Ýí ÍÞå áãÓÄæáíÊå Úä ãÌÇÒÑ ÇÑÊßÈÊ Ýí ÍÞ ãÊÙÇåÑíä Ýí ÓæÑíÇ.

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Le 26 décembre 2012. Bachar ASSAD aurait demandé un refuge à CARACAS, VENEZUELLA, pour sa famille. Mais il continue à massacrer les familles des autres !

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http://www.aljadeed.tv/MenuAr/news/DetailNews/DetailNews.html?id=46429

ÇáÇÓÏ íØáÈ ÇááÌæÁ áÚÇÆáÊå Ýí ßÑÇßÇÓ

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Le 27 décembre 2012. M. Samir GEAGEA a reflété les convictions  de la majorité des citoyens libanais sans aucun doute. Heureusement, il nous reste quelques hommes politiques libanais qui ont le courage de parler vrai. Malheureusement jusqu’à ce jour, les moyens mis en œuvre restent insuffisants pour réaliser nos choix.

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http://www.lebanese-forces.com/web/MoreNews.aspx?newsid=260721

ãÓÊÚÏæä ááÊÕæíÊ Úáì ÞÇäæä ÇáÅäÊÎÇÈÇÊ Ýí ÌáÓÉ ÚÇãÉ Ííä íÏÚæ ÈÑí... ÌÚÌÚ Ýí ÑÓÇáÉ ãÝÊæÍÉ áÓáíãÇä: ÈÏíá ÇáÍæÇÑ åæ ÇÓÊÞÇáÉ ÇáÍßæãÉ æÇáÊÞíÏ ÈÇáÏÓÊæÑ æáíÓ ÊÛØíÉ ÚãáíÇÊ ÇáÞÊá æÇáÝæÖì

ÝÈÚÏ ÎãÓÉ æÚÔÑíä ÇÛÊíÇáÇð æãÍÇæáÉ ÇÛÊíÇá æÊÝÌíÑ¡ ßÇÏÊ ØÇæáÉ ÇáÍæÇÑ Çä "ÊÝÑÛ" ãä ããËáøí Þæì 14 ÂÐÇÑ ÚáíåÇ. Ýãä ÓíÊÍÇæÑ ãÚ ãä íÇ ÊÑì¿

 

Åä ãÇ ØÇáÈÊ Èå Þæì 14 ÂÐÇÑ Úáì ÇáÏæÇã¡ åæ ÍæÇÑñ ÌÏøí æÈäøÇÁ¡ íäØáÞ ããøÇ Êã ÇáÇÊÝÇÞ Úáíå ÓÇÈÞÇð¡ ÝáÇ ÊáÛí äÞÇÔÇÊ ÇáÌáÓÉ Ýíå ãÞÑÑÇÊ ÇáÌáÓÇÊ ÇáÊí ÓÈÞÊåÇ. ÍæÇÑñ íáÊÆã ãä Ïæä Çä íßæä ÇáãÓÏøÓ ãæÌåÇð Çáì ÑÃÓ Þæì 14 ÂÐÇÑ¡ ÈÎáÇÝ ãÇ åæ ÍÇÕáñ Çáíæã.

 

ÇáÌåÉ ÇáÊí ÊÍÇæá ÇáÊáØøí ÎáÝ ØÇæáÉ ÇáÍæÇÑ¡ áããÇÑÓÉ ÇáÇÑåÇÈ æÇáÇÈÊÒÇÒ ÇáÃãäí æÇáÓíÇÓí¡ æÝÑÖ ãÚÇÏáÉ "ÅãøÇ ÇáÓáÇÍ ÛíÑ ÇáÔÑÚí Çæ ÇáÝæÖì"¡ æÈÇáÊÇáí ÊÍÕíá ãßÇÓÈ ÓíÇÓíÉ¡ Úä ØÑíÞ "ØÇæáÉ ÇáÍæÇÑ"¡ ÚÌÒÊ Úä ÊÍÞíÞåÇ ÊÍÊ æØÃÉ ÇáÊÑåíÈ æÇáÇÛÊíÇá.

 

ÇáãÚÇÏáÉ ÇáÍÞíÞíÉ ÚäÏ ÇáÝÑíÞ ÇáÂÎÑ åí ÅãøÇ Ãä ÊÚØæäí ãÇ ÃÑíÏ æÊÍÕáæä Úáì ÇáÇÓÊÞÑÇÑ¡ æÅãøÇ áÇ ÇÓÊÞÑÇÑ. ÃãøÇ ÇáÍæÇÑ ÈÇáäÓÈÉ áå Ýåæ ÝÞØ áÊÛØíÉ åÐå ÇáãÚÇÏáÉ.

 

ÍÒÈ Çááå¡ íÊãäøÚ Úä æÖÚ ÊÕæøÑå ÇáÎØøí áåÐå ÇáÇÓÊÑÇÊíÌíÉ Úáì ØÇæáÉ ÇáÍæÇÑ¡ áÇ Èá íÓÊÚíÖ Úä Ðáß ÈæÖÚ ãÓÏøÓå Úáì Êáß ÇáØÇæáÉ¡ æíÌÇåÑ Úáì áÓÇä ãÓÄæáíå íæãíøÇð¡ ÈÃäø ÓáÇÍå áíÓ ãØÑæÍÇð ááäÞÇÔ ÃÕáÇð.

 

äÑÝÖ ÇáÊÑåíÈ¡ æÇáÇÈÊÒÇÒ¡ æÇáÇäÎÑÇØ Ýí ÚãáíÉ ÊßÇÐÈò ÓíÇÓí áíÓÊ Óæì ãáåÇÉ áßã æáäÇ æááÈäÇäííä.

 

áÃä ÇáÈÏíá ÇáÝÚáí íÌÈ Çä íßæä ÇáÏÓÊæÑ æÇáÞæÇäíä æÇáÅÌÑÇÁÇÊ ÇáÔÑÚíÉ¡ æáíÓ ãÒíÏÇð ãä ÇáÊÛØíÉ áÚãáíÇÊ ÇáÝæÖì æÇáÞÊá æÒÚÒÚÉ ÇáÇÓÊÞÑÇÑ ÇáÊí íõåÏÏ ÈåÇ ÇáÝÑíÞ ÇáÂÎÑ¡ Ýí ãÍÇæáÉò ãäå áÌáÈäÇ ãßÈáøíä¡ ÕÇÛÑíä¡ ÑÇÖÎíä¡ Çáì "ÍæÇÑò ÞÓÑí" ÇÑÇÏ ÊÝÕíáå æÝÞ ãÞÇÓ ÃÌäÏÊå ÇáÓíÇÓíÉ¡ æÇÑÊÈÇØÇÊå ÇáÅÞáíãíÉ.

Åä ÇáÈÏÇÆá ÇáÊí äØÑÍåÇ ÊÊÌáøì Èßá ÈÓÇØÉ¡ Ýí Çä íåøÈ ÌãíÚ ÇááÈäÇäííä¡ æÇäÊã ÝÎÇãÉ ÇáÑÆíÓ Úáì ÑÃÓåã¡ áäÕÑÉ ÇáÍÞ æÝÖÍ ÇáÈÇØá¡ æÇáÚãá Úáì ÇÓÊÚÇÏÉ ÇáãÄÓÓÇÊ ÇáÔÑÚíÉ ÍÖæÑåÇ æåíÈÊåÇ¡ ÈÛíÉ ÇáÊÕÏøí áÂáÉ ÇáÞÊá¡ æÅíÞÇÝåÇ ÚäÏ ÍÏøåÇ.

æåá íÌæÒ Çä äÌáÓ Çáì ØÇæáÉ ÇáÍæÇÑ ÝíãÇ ÇáãõÊåãæä æÇáãÔÊÈå Èåã ÃÞáå Ýí ÊäÝíÐ åÐå ÇáÅÛÊíÇáÇÊ íäÊãæä Çáì ÇáØÑÝ ÇáãÞÇÈá Úáì ÇáØÇæáÉ¡ Ïæä Çä íÌÑÄ ÇÍÏñ ãä ãÄÓÓÇÊ ÇáÏæáÉ ÇáÔÑÚíÉ Úáì ÊæÞíÝåã Çæ ãõÌÑøÏ ãõÓÇÆáÊåã¿

ÇáÈÏíá åæ ÇÓÊÞÇáÉ ÇáÍßæãÉ ÇáÍÇáíÉ¡ æãä Ëã ÇáÊÞíøÏ ÈÇáÅÌÑÇÁÇÊ ÇáÏÓÊæÑíÉ ÇáÊí ÓÊõÝÖí ÍßãÇð Çáì ÊÔßíá ÍßæãÉò ÌÏíÏÉ ÊõÔÑÝ Úáì ÇáÇäÊÎÇÈÇÊ.

 

áã äÊÑÏÏ Ýí ÎÑÞ ãÞÇØÚÊäÇ¡ ÝíãÇ íÊÚáÞ ÈåÐÇ ÇáÔÞø ÊÍÏíÏÇð¡ ææÇÝÞäÇ Úáì ÇÌÊãÇÚ ÇááÌäÉ ÇáÝÑÚíÉ ÇáãßáÝÉ ÈãäÇÞÔÉ ÞÇäæäò ÌÏíÏ ááÅäÊÎÇÈÇÊ¡ æÐáß ÈÚÏãÇ ßäøÇ ÇáÓÈøÇÞíä Çáì ØÑÍ ãÔÑæÚò ÈÏíá Úä "ÞÇäæä ÇáÓÊíä"¡ åæ ãÔÑæÚ ÇáÏæÇÆÑ ÇáÕÛÑì.

 

 

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Le 28 décembre 2012. Les forces politiques du pays qui ont une responsabilité de représentation du peuple doivent se positionner en fonctions des objectifs de redressement de l’Etat de droits, selon les principes fondamentaux des droits des humains, et en fonction des lois de la république. Nous disons que nous ne négocierons pas avec des criminels. Leurs places sont en prison et pas sur une table de tractation entre maffiosi. La question est posée depuis longtemps : est-ce-que le clan de HEZBOLLAH n’est pas entaché de crimes et assassinats ? Et est-ce-qu’il est normal de supprimer le pouvoir du parlement par des réunions parallèles de chefs de clans ?

<< http://www.lebanese-forces.com/web/MoreNews.aspx?newsid=260860&title=&#1586;&1608;&1575;&1585;&1607;

ÒæÇÑå íÚÈÑæä Úä ÇäÒÚÇÌå ãä Ôßá ÇáÑÓÇáÉ ÇáãÈÇÔÑÉ ÇáÊí æÌååÇ ÌÚÌÚ Çáíå... ÑÆíÓ ÇáÌãåæÑíÉ ÑÏÇ Úáì ÑÆíÓ ÍÒÈ "ÇáÞæÇÊ": áä ÇÊÑÇÌÚ Úä ÇáÍæÇÑ

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Le 30 décembre 2012. Deux ans de guerre en Syrie, 4 millions de déplacés, 50000 morts, des centaines de milliers d’handicapés, des villes dévastées, disparition des moyens de vie normale, exposition au froid et aux maladies, pénurie alimentaire. Le Tyran Bachar reste au pouvoir et annonce à travers ses réponses à M. Aghdar IBRAHIMI, émissaire de l’ONU pour la Syrie : «  ou négociation politique où Bachar est partie prenante ou l’enfer pour toute la région ».

Derrière Bachar, le dictateur assassin, il y a les dictatures armées du régime iranien, du régime de Poutine en Russie, du régime terroriste de Hezbollah au Liban.

C’est Michel AOUN, collabo acheté par Bachar et Hasan NASRALLAH, qui soutient la thèse de l’enfer au Liban. Il annonce : « ou dialoguer ou la guerre ». Dialoguer avec les dictateurs armés revient à se soumettre comme un esclave à leur volonté.

Il y a des événements précédents et innombrables qui ont montré que ces dictateurs sanguinaires sont capables de massacrer même ceux qui les servent, anciens amis, anciens partisans, et le peuple qu’ils prétendaient défendre, pourvu qu’ils restent au pouvoir.

Toute la région est exposée à une guerre civile meurtrière si les superpuissances démocratiques ne soutiennent rapidement et militairement la révolution démocrate syrienne pour déloger par la force et rapidement le tyran Bachar ASSAD.

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http://www.aljadeed.tv/MenuAr/news/DetailNews/DetailNews.html?id=46862

ãÆÇÊ ÇáÞÊáì ÈÓæÑíÇ ãÚÙãåã ÃÚÏãæÇ ãíÏÇäíÇð

ÞÊá 226 ÔÎÕÇð Ýí ÓæÑíÇ ÃãÓ¡ ãÚÙãåã ÃÚÏãæÇ ãíÏÇäíÇð Ýí ÏíÑ ÈÚáÈÉ Ýí ÍãÕ ÈÚÏ Ãä ÇÞÊÍãÊåÇ ÞæÇÊ ÇáÌíÔ ÇáäÙÇãí¡ ÈÍÓÈ äÇÔØíä¡ Ãä åÄáÇÁ ÞÊáæÇ ÐÈÍÇð Ãæ ÍÑÞÇð. ÝíãÇ ÃÝÇÏÊ ÇáãÚÇÑÖÉ ÇáÓæÑíÉ ÈÃä ØÇÆÑÇÊ ÇáäÙÇã ÔäÊ ÛÇÑÇÊ ÌæíÉ Úáì ÑíÝí ÏãÔÞ æÍáÈ.

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http://arabic.rt.com/news_all_news/news/603886/

ÇáÇÈÑÇåíãí ãä ÇáÞÇåÑÉ: ÇáæÖÚ Ýí ÓæÑíÉ ÈÇáÛ ÇáÓæÁ æ4 ãáÇííä ÓæÑí ÈÍÇÌÉ ááãÓÇÚÏÉ

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Le 31 décembre 2012, Ghazi ZAAITER, comme Nabih BERRI son chef de clan, fait la propagande hypocrite que la proportionnelle éliminerait les sensibilités confessionnelles entre libanais, ce qui est faux. Surtout il cache son vrai objectif qui est de garder le pouvoir partagé entre les chefs de maffias qui nous gouvernent en garantissant une part du pouvoir pour chaque chef même pour ceux qui perdent beaucoup de partisans. Son chef Nabih veut encore bleffer les 14 MARS pour rester président du parlement! C’est ce qu’on appelle le partage de l’Etat entre les clans féodaux.       

December 31, 2012, Ghazi ZAAITER, as his chieftain Nabih BERRI, is doing its hypocritical propaganda that proportional electoral law eliminate religious sensitivities between Lebanese, which is false. Especially, he hides his true goal which is to keep the shared power between the mafia leaders who govern us by guaranteeing a power part for each mafia leader even for those who lose a lot of supporters. His leader Nabih BERRI still wants to bluff 14-March Group to stay president of the parliament! This is what we name State sharing between feudalists.

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http://www.14march.org/news-details.php?nid=NDI1NDgw

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